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Musée Internet

Le Musée National des Médias de Braford (Royaume-Uni) vient d’ouvrir une nouvelle section dédiée à Internet sous le nom de « Life Online » (Vie en ligne).

Située au rez-de-chaussée du musée, cette galerie retrace l’influence d’Internet sur l’Histoire. « C’est une grande partie de nos vies », confie Tom Woolley, le conservateur. « C’est important de savoir d’où vient Internet. Sa montée a été fulgurante. Regarder la télévision, un film ou écouter de la musique, tout est enfermé dans le Web désormais », poursuit-il.

Remontant aux origines d’Internet, ce projet a coûté 2 millions de livres et demandé cinq ans de développement. « Aucune autre galerie au monde n’est dédiée au lien qu’entretien Internet avec l’Histoire et l’impact qu’il a sur nos vies », déclare Tom Wooley.

L’exposition ouvre ses portes aujourd’hui. Elle est divisée en deux parties. L’une est l’exposition permanente. Elle raconte l’histoire d’Internet. La seconde changera tous les ans. Pour 2012, elle mettra en scène le développement de l’Open Source.

Parmi les attractions, on trouvera un jeu dans lequel on peut essayer de devenir riche grâce à Internet avant la bulle. Il suffit d’investir sur des sociétés. Le système calculera alors si les choix étaient productifs ou non.



Musée Internet

Source: http://www.tomsguide.fr/actualite/Internet,3150.html

On sait Google et Facebook concurrents sur de nombreux points. Les deux géants du Web pourraient bien s’affronter virtuellement sur un nouveau terrain. En effet, selon le site The Verge, le réseau social plancherait actuellement sur une nouvelle mouture de son moteur de recherche afin de pousser l’expérience de ses utilisateurs plus loin.

Ainsi, une équipe d’ingénieurs dirigée par un ancien de Google se penche spécialement sur ce projet. L’objectif : aider les 800 millions d’inscrits à parcourir le contenu du réseau social, via les statuts, les articles, les vidéos et toutes les informations du Web qui transitent sur Facebook via le bouton Like notamment.

Pour cela, Facebook mise sur le fait que les recherches sur Google ne répondent pas totalement aux exigences des utilisateurs. En effet, sur Google, la grande majorité des « chercheurs » ne dépasse pas la première page de recherche. Et le plus souvent, ne trouvent pas réponse à leur question.

Un exemple d’une recherche qui pourrait se révéler plus pertinent sur Facebook : pour rechercher un sandwich, au lieu de le taper dans Google, je vais lancer la recherche sur Facebook, qui va trier parmi les derniers statuts, commentaires, Like ou même « check » Foursquare pour définir, autour de soi, le meilleur sandwich du coin.

Google n’est pas étranger à cette méthode, puisqu’il fonctionne sur un système ressemblant avecGoogle+. Mais la différence réside dans le nombre d’inscrits sur le réseau du moteur de recherche : 100 millions d’utilisateurs selon les derniers chiffres qui datent du début du mois de mars.

Source: http://www.tomsguide.fr/actualite/Facebook-Google-Recherche-Moteur,3147.html

RapidshareFinalement, Rapidshare a raison. Condamné la semaine dernière à contrôler a priori les liens partagés par ses utilisateurs, le site Rapidshare a finalement eu gain de cause. Dans sa décision finale, la cour de Justice de Hambourgdonne raison au site sur la légalité de son activitépermettant aux utilisateurs d’héberger leurs fichiers. 

La cour demande en revanche à Rapdishare de contrôler les liens externes qui renvoient à des contenus protégés par le droit d’auteur. Selon Alexandra Zwingli, représentante du site, « c’est un résultat significatif ». Elle assure également que ce type de contrôle n’est pas difficile à mettre en place. 

En revanche Rapidshare va porter ce cas précis devant la Cour suprême allemande : « nous voulons clarifier la question du contrôle proactif des liens externes au plus haut niveau judiciaire », explique Alexandra Zwingli.

Source: http://www.tomsguide.fr/actualite/rapidshare,3145.html

Depuis avril 2011, les utilisateurs qui disposent d’un compte gratuit sur le service Spotify, sont limités à 10 heures d’écoute et ne peuvent écouter plus de 5 fois le même titre. Le service d’écoute de musique en ligne nous informe que ces limites vont être allégées dans cinq pays européens, dont les Pays-Bas, la Suède, la Finlande, la Norvége et l’Espagne, mais malheureusement, ça ne sera pas le cas pour la France.

Bien entendu, ce n’est pas intentionnel si Spotify néglige certains pays, puisque la décision d’imposer des limites revient aux maisons de disques et il semblerait qu’en France ou encore en Angleterre, ces dernières soient très strictes. Pascal Nègre, le PDG d’Universal Music en France, estime que 5 écoutes d’un même titre est largement suffisant pour savoir si on a envie d’acheter un titre ou non. Pour les petits chanceux, Spotify n’imposera plus cette limite de 5 écoutes, par contre, ils seront toujours limités à 10 heures d’écoute par mois, ce qui est déjà bien.

Source: http://www.journaldugeek.com/2012/03/30/spotify-debride-ecoute-gratuite-pas-en-france/

Un second échec dix ans après le premier, AlloCiné vient d’annoncer que leur chaine d’information cinéma, lancée en septembre 2011, cessera d’émettre courant avril. Cette chaîne propose des oeuvres anciennes, des films et des reportages spécialement dédiés aux cinéphiles, des rediffusions ou encore leur propre émission « tout un programme », dans laquelle les chroniqueurs d’AlloCiné conseillent et décortiquent les films du soir. L’équipe explique :

Malheureusement, nos intentions et notre foi n’ont pas suffi face aux bouleversements du PAF, avec l’extension de la TNT, et à l’inertie réglementaire (difficultés pour diffuser des films tous les jours, accès restreint aux films récents…).

AlloCiné précise qu’ils continueront à proposer des émissions et fictions sur le Web, mobiles et tablettes, au sein des portails des box et TV connectées. Des nouveautés sont également annoncées comme un guide de programmes TV en avril et une offre vidéo de qualité, à la demande, gratuite et « éditorialisée ».

Source: http://www.journaldugeek.com/2012/03/29/termine-pour-allocinetv/